La Sexualité Compulsive De Florence : L’Offrande À Des Inconnus. (Partie 12/ 15)

Depuis début avril 2019, je passais un week-end sur deux chez Sylvain. Après sa dernière intervention dans l’entreprise, il y avait cinq jours, je ne l’avais pas revu, il me manquait beaucoup. Dans la voiture pendant les quarante minutes de trajet, bien entendu, j’avais hâte de retrouver mon amant. Néanmoins, mes premières pensées furent pour Alex. Je l'aimais d'un amour profond, c’était un être exceptionnel, il savait me faire divinement l'amour, nous étions fusionnels dans nos joutes amoureuses, mais pas seulement.

Dans notre simple quotidien, nous étions très complémentaires, nous essayions toujours de maintenir cette âme quelque peu ine, plutôt d'adolescents inconscients. Alex ne voyait que par moi, il désirait me voir heureuse, épanouie, comblée dans tous les domaines, il me faisait souvent de joli cadeau dans la mesure de nos moyens. C'était là que sa propension candauliste, sur le plaisir sexuel prenait alors, toute sa dimension, il estimait qu'il ne saurait jamais m’apporter à lui seul, toutes les jouissances sexuelles dont j'avais besoin.

Ce fut la raison pour laquelle, après une très longue réflexion, j’avais "épousé" son candaulisme. En effet j’avais compris que pour lui, à l'évidence ce n'était pas qu'une envie mais un réel besoin. Comme je désirais voir mon chéri heureux de partager ma vie. J'avais vite trouvé mon compte sans me forcer, ma jeunesse délurée m’avait bien aidée !

Par contre, lorsque j'avais rencontré Sylvain, ce fut tel un coup de foudre. Juste en le voyant j'avais mouillé, c'était fou un truc pareil ! Ça ne m'était jamais arrivé. J’étais tombée sous son charme, j'avais eu envie de lui immédiatement et je sus rapidement que cet homme me ferait prendre un pied du tonnerre, en baisant avec lui et ce fut allé bien au-delà de mon imagination. Les sentiments que j'avais pour Sylvain n'étaient pas de l'amour à proprement parler, plutôt des sensations physiques, de plaisirs très forts.

J'étais bien dans ses bras, protégée par le charisme qui émanait de son être, je me sentais petite, fragile mais sans jamais être en danger.

Tout naturellement, il m'était venu cette envie de lui plaire, de me donner à lui docilement pour recevoir encore et toujours le plaisir qu'il me procurait. Cela me plaisait de plus en plus, je me réjouissais à devenir sa soumise, à le satisfaire, tout comme j'étais très excitée à recevoir les coups de fouet ou cravaches. J'aimais sa façon d'être doux mais en même temps, autoritaire. J’adorais les compliments qu’il me faisait et ses paroles qui me rendaient importante à ses yeux, comme un être exceptionnel.

Je pouvais dire que, pour Sylvain comme pour Alex, j'étais LA femme qu'ils vénéraient mais chacun à leur manière. Pour mon amant, c’était plutôt sexuellement, j'étais sa salope, sa chienne, sa pute, sans parler d’amour, il m'appréciait beaucoup car je répondais à ses attentes, à ses perversions, je le reconnaissais volontiers, je prenais du plaisir à me faire avilir pour son propre plaisir.

Arrivée à Nîmes le vendredi soir, ce fut la fête des retrouvailles et la matinée du samedi fut réservé à notre jeu favori, où le fouet et le martinet avaient claqué sur ma peau pour notre plus grand bonheur. Sylvain était très excité aussi, il m’avait possédé ensuite comme un dieu. Après cette séance de SM soft où j’avais pris beaucoup de plaisir, tout allait changer dans notre relation. D’un ton grave et très sérieusement, il me demanda :

— Es-tu vraiment prête à aller plus loin dans ta soumission ?
— Oui Sylvain ! Je suis là pour toi et à ta disposition 24 heures sur 24 pendant tout le week-end et même bien plus, je t'appartiens.
— Très bien ! Je me devais de te poser cette question, il n’est nullement question que je te force à quoique ce soit, même si je me doutais de ta réponse, cela me rassure de te l'entendre dire.

Ma réponse n'était pas juste une réplique d'un jeu de rôle, je pensais ce que je disais et étais entièrement sa dévouée et lui témoignait ma passion en me soumettant totalement.

Après le déjeuner pris à la maison, il me dit de me préparer et de me faire belle pour cet après-midi en poursuivant :
— Pour la dernière étape de soumission, nous allons allez chez mon ami Brian cette après-midi.

Je ne dis rien, je ne voulais pas le contrarier, ni lui poser des questions afin de ne pas le mettre en porte à faux, je me doutais bien que ce n’était pas pour regarder la télé. Sylvain désirait sans doute me partager et ce n’était pas un problème pour moi, j’avais l’habitude d’être baiser par plusieurs mecs en même temps. Je m’étais parfumée, coiffée comme mon maitre me l’avait ordonné, c’est-à-dire, les cheveux tenus en arrière pour pas être gênée pendant les pipes.

Sylvain avait choisi ma tenue vestimentaire, je n’avais mis aucun sous-vêtement, hormis ma paire de bas ajourés noirs. Je portais une jupe plissée porte- feuille très courte, m’arrivant au ras des fesses, un tee-shirt manches longues, très moulant, noir en tulle qui laissait la poitrine visible. On voyait bien les pointes dressées de mes seins et aux pieds, j’avais enfilé des sandales à talons hauts.

Je n’étais au courant de rien, il avait garé sa voiture devant une petite maison pavillonnaire dans un lotissement et m’avertit que je devais respecter la règle 10 de la soumise et me demanda de la citer : « Le Maître peut prêter ou louer et à l'extrême, vendre ou donner sa soumise à qui bon lui semble. Dans ce cas, le nouveau bénéficiaire devient provisoirement le Maître. La soumise devra donc exécuter avec le même entrain et la même ferveur, les demandes du nouveau Maître. » je le regardai inquiète, je lui demandai :

— Tu vas m’offrir à un de tes amis ?
— Non ! Pas un ! Mais trois, enfin je crois… Mais un, deux, dix, peu importe, tu le sais, encore hier soir tu me le confirmais, que ton corps m’appartient et j'en fais ce que bon me semble, donc tu feras tout ce qu’ils te demanderont, J’ai bien dit TOUT.

— Oui c'est vrai et je suis heureuse de t'appartenir.
— C'est bien ma chienne, j'aime t'entendre le dire.
— Tu ne restes pas avec nous Sylvain ? Demandais-je.
— Non ! J’ai à faire, je viendrai te chercher dans quelques heures.

Ce fut Brian qui nous ouvrit la porte, Sylvain me présenta à lui, sans me regarder, en lui disant :
— Comment trouves-tu ma nouvelle salope Brian ?
Ce type ne me connaissant pas encore, passa sa main sous ma jupe et vérifia mon intimité, il souriait grave, s’apercevant que je ne portais pas de petite culotte. Je voyais les deux gars au salon se frotter déjà les mains en me voyant ainsi vêtue, prête à leurs être offerte. Ils s’approchèrent et purent apprécier la marchandise en me pelotant les seins, les cuisses et la fente déjà bien humide :
— Vous n’êtes pas là, que pour la caresser les gars, mais pour la baiser comme une salope, elle est à votre disposition. Faites-en votre putain.

Ces paroles dites sur un ton froid et sévère, me firent appréhender la suite, je m’étais mise à trembler, ils n’étaient pas là pour mon plaisir mais bien pour le leur, je me sentais humiliée mais cela m’excitait déjà.
— Voilà Brian ! Profitez de Florence à votre guise, elle est à vous pour cet après-midi, tout est possible avec cette chienne, sauf le scato, zoophilie et le SM hard, mais vous pouvez bien la marquer si ça vous fait envie. À tout à l’heure ma chérie, soit très SAGE. Me dit-il.
— Bien Maître ! Vous pouvez compter sur moi.

Je jouai le jeu de la bonne petite soumise devant ses amis. Sylvain tourna les talons sans un mot me laissant là comme un vulgaire animal que l’on fait garder par un voisin. Brian me plut tout de suite, il était bel homme d’une quarantaine d’années, assez grand et de belle carrure, cheveux courts, châtain clair. Les deux autres étaient Kamel, un jeune quadragénaire comme Brian, grand très mince, à la limite de la maigreur, cheveux frisés noirs, avec un visage sévère tailler à coups de serpe, tandis que Michel était un vieux bonhomme de plus de soixante-cinq ans.
Un petit gros, laid, mal rasé, il semblait plutôt timide avec son visage violacé.

Lorsque Sylvain était parti, très vite Brian me mis une bonne claque sur ma cuisse, juste en dessous de ma jupe en m’ordonnant de leur servir une bière et de prendre ce que j’avais envie dans le frigo. Tout en buvant leur bière, avec comme musique de fond un CD de « Sting de The Police », Brian me fit danser, j’exécutai ses ordres sans rien dire, la tête baissée, pas de honte mais en bonne soumise, je devais satisfaire les demandes de Sylvain, je tenais à ne pas le décevoir. Les trois types me détaillèrent, des pieds à la tête, les yeux gourmands, ils me mataient avec un certain désir, pendant que je me remuais au son de la musique. Je retirai tour à tour mon teeshirt et ma jupe, me retrouvant, vêtue uniquement de mes bas et mes chaussures à talons. Mes postures étaient très lascives et sensuelles, pendant que Brian disait :

— Voilà Florence mes potes ! Cette salope va nous faire jouir. D’après son Maître, c’est une suceuse formidable et une vraie bonne chienne, aujourd’hui elle est nous. Dis leur salope !
— Oui Monsieur ! Faites de moi votre putain
Brian me remis une claque sur l’autre cuisse en continuant :
— Allez coquine, montre-nous de suite ton talent ! Puis en s’adressant à ses compères : Regardez bien ! Kamel prépare-toi.

Je m’étais agenouillée devant le maghrébin, je sortis sa queue de son jean, il ne bandait pas encore totalement mais elle était très longue et d’un diamètre bien plus que respectable, cette énorme bite dénotait par rapport à son corps si mince. Je m’étais penchée, telle une soumise, sous ses couilles, je léchais sa verge, suçais doucement, faisant très vite bander sa superbe queue. J’avalais, je le gobais, je voulais mettre mes mains sur ses cuisses, lorsque je reçu plusieurs coups de cravache sur mes fesses nues :
— Mets tes mains derrière le dos, montres à mes amis comment tu m’obéis. Suce-le fond ! Cria Brian.

Sans rien dire de plus, je m’exécutai et fis une gorge profonde, je le suçais comme il désirait, sans les mains mais avec difficulté, son dard d’une bonne vingtaine de centimètres m’étouffait :
— Arrête salope, je vais gicler. Dit Kamel en retirant sa bite.
— Vous avez vu les gars, elle sera comme ça toute l’après-midi, que pour nous. Allez tonton c’est à ton tour.

La verge du vieux bonhomme était de taille moyenne mais bien épaisse, il bandait déjà lorsque je l’avais prise dans la bouche. Brian me faisait mal, il me mettait des gifles sur mes seins et mes fesses, pendant que je suçais Michel bien profond. Avec sa queue large, je dus ouvrir en grand ma bouche. Le vieux n’avait pas attendu longtemps, il était au bord de l’explosion, je reçus un bon coup de cravache sur le cul. Brian me dit d’arrêter que c’était à son tour de profiter de ma bouche.

Pendant que je léchais la queue de Brian, la sœur jumelle de Sylvain, tout en me triturant les seins, il parlait toujours, sous le regard de ses deux copains, me présentant tour à tour ses deux acolytes. Kamel était un fils d’émigré Algérien, un ami d’enfance qui était venu spécialement enculer une salope de bourge blanche, ça lui changeait des petites beurettes du quartier qu’il baisait régulièrement. Tandis que Michel le vieux, était une vieille connaissance de la cité, dans laquelle ils avaient grandi tous les deux et par amitié, le surnommaient « tonton ». Il fêtait ses 68 ans aujourd’hui, il n’avait pas tiré un coup depuis trois ans après avoir perdu sa femme, il ne faisait que de se branler, c’était son cadeau d’anniversaire :
— Ils sont venus te baiser la chatte le cul et la bouche.
— Oui bien-sûr Monsieur ! Je commence par le tonton alors ?

Après les avoir tous sucés et léchés, les trois lascars étaient en érection, je me tournai et me penchai en avant devant Michel, j’écartais les jambes, chatte ouverte à quelques centimètres du visage du gros bonhomme, juste devant ses yeux. Il était assis, les deux autres c’étaient levés et me pelotaient déjà :
— Bon anniversaire Monsieur Michel, je suis à vous, fourrez-moi. Lui dis-je en me retournant face à lui et en lui faisant un bisou puis léchant de ma langue humide ses lèvres sèches.

Le vieux était comme tétanisé, assis au bord du canapé, il attendait, sa bite dressée dans sa main. Docilement, je lui enfilai une capote, puis lui faisant face, je chevauchai Michel, empalant ma chatte ultra mouillée d’un seul coup sur sa queue. Je remuais du bassin d’avant en arrière en jouant de mes muscles les plus intimes :
— Prenez-moi tous les trois, je suis à vous. Dis-je très excitée.
— Putain quelle sacrée salope ! Je vais l’enculer. Répondis Kamel

Pendant que Brian vint face à moi, derrière le sofa me présentant sa bite devant mes lèvres. Il me maintenait la nuque fermement, accrochée à sa queue qu’il m’enfonçait dans la bouche en faisant des aller et retour. La grosse bite de Kamel rentrait et sortait violemment de mon anus défoncé, Très vite j’entendis râler Michel, il venait de jouir dans le latex. Prise ainsi, je jouis pour la première fois de l’après-midi. Les deux quadragénaires changèrent de position, Kamel s’affala sur le canapé, j’étais couchée sur lui de dos, prenant toujours mon cul en m’insultant et Brian remplaça le tonton me remplissant copieusement le vagin de sa belle queue.

Très excités, Brian se retira enleva la capote, ne pouvant approcher de ma bouche, m’envoya toute sa semence entre mes deux seins. Kamel me dit de me relever, sortit sa bite de mon anus et enlevait son préservatif, il n’eut pas le temps de faire autre chose que d’éjaculer entre mes cuisses. Michel n’en avait pas loupé une seule miette, il regardait mais ne bandait plus assez pour participer :
— Allez tonton prend du viagra sur la table, ça va te remettre en forme.

C’était le début de ma fête, je fus, pendant plus de trois heures, leur objet sexuel, prise comme une poupée gonflable. Entre fellation, gorges profondes, cunnilingus, doigtés en tous genre, pénétrations diverses, vaginales, anales, double et triples. Mais aussi, fessées, coups de cravaches et de martinet, gifles, claques sur les fesses, sur les seins et ces fameuses pinces à tétons qui m’avaient fait allonger mes mamelons de plusieurs millimètres, j’avais connu plusieurs orgasmes.

Pendant cet après-midi, Brian ne fut pas tendre avec moi, me baisant avec force et détermination, tout en me flagellant, Kamel fut assez violent, me prenant le cul bestialement et cela toujours en m’insultant, le lendemain j’en avais encore mal au trou de balle, au vu de la grosseur de sa verge. Quant à Michel, il fut de loin le plus brutal, à la limite de la méchanceté, notamment lorsqu’il m’avait administrée une fessée en bonne et due forme, avec ses grosses paluches calleuses, il m’avait fait vraiment mal. Néanmoins, tous les trois s’accordèrent à dire à Sylvain, lorsqu’il était venu me chercher que j’étais une excellente salope, une vraie pute qui aimait se faire baiser et sodomiser, prête à tout pour jouir, il tenait là une soumise digne de ce nom.

En rentrant à la maison, Sylvain était fier de moi, il me récompensa en m’offrant mon cadeau :
— Maintenant, je te mets ce collier d’appartenance, tu l’as bien mérité. Tu le porteras toujours lorsque tu viendras à Nîmes.
Je vous raconterai la suite de mon aventure de chienne soumise à Sylvain dans quelques jours.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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